Puisque je rentre de vacances et que mon humeur est encore momentanément au beau presque fixe, je voudrais laisser choir mon habituelle indignation pour me réjouir et enfin faire part d’une expérience institutionnelle positive en la personne de Joe Downing, enfin plutôt de ses œuvres puisque la logique des musées français qui est d’exposer des artistes qui soient soit morts, soit nuls est ici respectée dans la mesure où il est décédé en 2007.
J’ai trouvé en cet artiste, pourtant relégué au sous-sol du Musée Unterlinden de Colmar, enfin une démarche esthétique à travers sa touche fragmentée, colorée et kaléidoscopique. La difficulté était d’autant plus grande qu’il s’agit d’œuvres abstraites, genre pourtant visité et revisité plus souvent que Zahia ne l’a été par les joueurs de l’équipe de France (pardon je m’égare).
Sans doute bénéficiait-il d’une reconnaissance déjà bien établie (il est sur Wikipedia !) et je déplore encore une fois qu’il ait fallu qu’il passe l’arme à gauche pour découvrir son travail mais la conviction de croire encore en ce qu’il y a de beau renaît heureusement de temps en temps grâce à des artistes décédés. C’est triste et bien dommage et il s’agit ni plus ni moins que d’une lacune de ma part dans ma connaissance de l’art contemporain mais si on nous montrait moins de Boltanski et plus d’artistes de la trempe de Downing, l’art contemporain jouirait d’une meilleure crédibilité auprès des non-initiés et même de certains professionnels.
J’ai trouvé en cet artiste, pourtant relégué au sous-sol du Musée Unterlinden de Colmar, enfin une démarche esthétique à travers sa touche fragmentée, colorée et kaléidoscopique. La difficulté était d’autant plus grande qu’il s’agit d’œuvres abstraites, genre pourtant visité et revisité plus souvent que Zahia ne l’a été par les joueurs de l’équipe de France (pardon je m’égare).
Sans doute bénéficiait-il d’une reconnaissance déjà bien établie (il est sur Wikipedia !) et je déplore encore une fois qu’il ait fallu qu’il passe l’arme à gauche pour découvrir son travail mais la conviction de croire encore en ce qu’il y a de beau renaît heureusement de temps en temps grâce à des artistes décédés. C’est triste et bien dommage et il s’agit ni plus ni moins que d’une lacune de ma part dans ma connaissance de l’art contemporain mais si on nous montrait moins de Boltanski et plus d’artistes de la trempe de Downing, l’art contemporain jouirait d’une meilleure crédibilité auprès des non-initiés et même de certains professionnels.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire